Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 00:58
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Teddy et la lady

 

Je l’attends devant un thé et les souvenirs reviennent ou est ce mon imaginaire qui s’amuse à anticiper le reste de la soirée ?

Nous arrivons au club un peu avant minuit…

Il est nu, comme d’habitude, revêtant pour seule parure un collier rose muni d’un petit grelot et une laisse écossaise assortie, achetés dans un magasin pour chiens chics.

Je porte une longue tunique noire, des bas blancs et des chaussures noires, la seule touche de couleur est le nœud rose qui les orne et s’harmonise à la laisse.

Je m’assoie sur un siège napoléon, le laisse debout, les bras croisés derrière le dos.

Je n’ai pas à lui rappeler qu’il doit garder les yeux fermés, les consignes sont apprises depuis longtemps.

Il offre sa nudité aux regards des autres  et reste dans l’ignorance, provoque-t-il intérêt ou indifférence ?

Je sirote un Perrier en regardant l’assistance.  J’aimerais y trouver un compagnon de jeu pour Teddy ou pourquoi pas une maitresse qui, je le sais d’expérience, sera bien plus sévère que moi.

Je le guide du bout de la laisse vers une petite pièce et l’attache à la croix. Je flatte tout doucement son échine de ma badine. Elle est blanche comme mes bas, je le sais sensible à ce symbole d’une innocence feinte, d’une virginité prétendue. Je le laisse d’ailleurs entrevoir mes bas juste pour attiser son désir tout de suite, c’est si facile ! J’adore …

Il ne bouge pas, sage, corps offert, esprit ouvert aux multiples sensations qui vont sans cesse le submerger tout au long de ces heures de doux calvaire.

Mes doigts agiles parcourent son corps, tantôt doux et tendres effleurements, tantôt griffures sauvages.

Une zone le bouleverse étonnamment, son crane nu, sans cheveu et diantre qu’il est plaisant de le visiter avec méthode du bout des ongles, centimètre après centimètre, je le vois tressaillir, son nez se tord, sa bouche gémit et frémit.

Je sors soudain mon fouet et commence à marteler ce corps avec les lanières de cuir très doucement en imprimant un rythme constant. Je n’épargne aucune parcelle de sa peau, y compris ses parties intimes.

Une femme  approche. Elle est belle, revêtue d’une toute  légère robe noire. Elle nous regarde, traverse la pièce et va s’installer sur le slim (sorte de balançoire suspendue), juste en face de la croix.

L’éclairage est très faible et laisse deviner son visage et entrevoir son torse dans la presque obscurité.

Elle semble prendre plaisir à me regarder martyriser Teddy toujours avec la même lenteur voulue.

Teddy reste les yeux fermés inconscient de cette charmante présence. Elle commence en se balançant doucement sur le slim à laisser ses mains partir en promenade sur son corps. D’un geste gracile, elle ôte les bretelles de sa robe.

Je donne l’ordre à Teddy de regarder. Je le veux fasciné par ce spectacle troublant. Elle se caresse en se balançant sur une musique douce.

Le reflet de la lumière d’une bougie joue sur sa peau, son torse. Nous entrevoyons ses petits seins blancs, laiteux, fermes, son ventre pâle, son sexe où ses mains se rejoignent dans l’obscurité.

Les yeux de Teddy se vautrent et s’emplissent de ce moment magique entre tous  où l’on touche la beauté du bout des cils …

Le temps semble se suspendre sur nous trois. Nous sommes immobiles soudain ensorcelés par la lueur d’une bougie.

Puis, elle se lève, se rajuste et pars avec un délicieux sourire.

Teddy referme les yeux sans même que je lui en intime l’ordre. Il a adoré, je le sais, et c’est avec plaisir que je le laisse entrevoir la beauté pour mieux attiser son désir, le faire grimper toujours et encore plus haut.

Je redonne à mon fouet son énergie perdue, il se réveille sous les coups et pousse quelques grognements.

Je le détache et du bout de la laisse le tire vers ailleurs. J’ai très  envie d’offrir mon bel ours à cette femme.

Je la trouve et lui présente Teddy très officiellement le décrivant comme un ours encore jeune mais sage et obéissant.

Je le lui offre, lui laissant carte blanche, qu’elle en use à sa guise, et lui tend ma badine.

Elle ordonne à Teddy de se pencher sur un meuble bas et le tâte du bout de la badine en devisant avec moi avec un ravissant accent anglais, lui donnant des faux airs de Lady Chatterley.

Soudain, elle fait pleuvoir sur le cuir de mon ours une averse de coups sévères. Il remue, geint, mais se repositionne aussitôt signalant ainsi sa totale soumission.

Elle me félicite quant à sa bonne éducation. Je lui réponds que  je suis assez sévère lors de ses incartades et que les punitions qui s’en suivent sont conséquentes.

Il me faut avouer que je prends un réel plaisir à voir cette femme revêtir un instant mon rôle de maitresse et je suis fière de l’absolue obéissance de mon ours chéri.

La femme se rassoit.

« Désirez vous que Teddy vous caresse les seins, lui dis je, il est assez adroit »

« Mais, avec plaisir » répond t’elle avec son ravissant accent britannique

Teddy s’approche sur ordre et à tâtons cherche les superbes tétons entrevus plus tôt, mais cela il l’ignore. Il les prend en bouchez avec l’adresse que je lui connais, les suce et aspire, elle aime ça.

Il flatte le premier et fait subir le même sort à l’autre.

Le compagnon de cette femme et moi regardons la scène sans un mot.

Une complicité naissante monte soudain dans la pièce.

Nous nous dirigeons tous les quatre vers une couche.

J’ordonne à Teddy de caresser la femme tandis qu’elle s’occupe de son mari. Je veux qu’il satisfasse ce sexe offert.

Puis, j’ai envie d’autre chose et je demande si Teddy peut prendre le grand pic plein de désir de l’homme et le masturber.

J’aime regarder Teddy qui se penche sur ce sexe tandis que je sens des mains parcourir mon corps.

Il s’ensuit un merveilleux moment où l’amour se joue à huit mains, quatre bouches. Nos quatre corps se mélangent au gré de nos envies, le tout dans une grande attention. Il se dégage une merveilleuse sensualité de cette belle débauche.

Bien plus tard, ils nous quittent.

Nous sommes enfin seuls, Teddy est empli d’émotions, de désirs et je lui offre ce que je suis seule à pouvoir lui offrir, ce qu’il ne désire peut être même pas : un morne  plaisir.


Par la baigneuse - Publié dans : Teddy et la baigneuse
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Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 00:54
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La soirée est déjà avancée, nous avons diné, marché main dans la main.

Au cours de cette longue promenade, au détour du marais, en flânant de boutiques en boutiques, après le passage obligatoire dans un magasin SM gay, il fut attiré par une bague.

C’est là que je le vis, un sac somme toute ordinaire, mais qui pourtant revêtait pour moi de l’importance, puisqu’il allait devenir le coffre fort de nos jouets intimes.

Je l’ai emporté tel un trésor, le trésor d’un amour secret et profond.

Chaque objet y trouva sa place : là les cordages blancs, presque immaculés ; là les fouets petits, vifs ou plus grands, plus incisifs ; là les plumes, roulettes, petite brosse en métal ; là encore : les pinces, godemichés et autres délicieux objets de plaisir, objets du désir.

Il ne nous restait qu’à exhiber notre nouveau contenant et à œuvrer à rendre le contenu toujours et encore plus distrayant.

Teddy, c’est ainsi que se nomme mon adorable soumis,  nature sauvage que je dresse au fil du temps.

Dois-je vous conter l’histoire ? L’histoire d’un homme qui des années durant joua aux dominateurs, œuvrant avec un brio certain à offrir aux femmes le délicieux instant qu’est l’abandon.

Il m’a offert la découverte de ce monde étrange pour certains, ce monde qui consiste à s’en croire le MAITRE. J’ai compris très vite que n’est pas maitre celui qui pense l’être et j’ai immédiatement  su  que le vrai pouvoir du maitre est d’obtenir la soumission par le plus total des abandons dans une sorte de divin laisser aller, l’offre sans reddition l’espace d’un instant de son corps mais aussi de toute sa cérébralité, n’est ce pas le plus bel acte d’amour ?

Et de baigneuse de Renoir, me voilà devenue maitresse.

Mais revenons à cette soirée, j’ai pour habitude de l’exhiber, totalement nu, et si fut un temps je le parais d’un foulard ou d’un masque afin qu’il reste concentré, je préfère de loin lui ordonner quelques soient les stimuli extérieurs de rester les yeux clos.

La pièce est meublé dans un style vaguement rococo, l’ensemble cependant ne manque pas de charme. Plusieurs couples sont déjà installés. Plusieurs femmes très dénudées mais cependant couvertes sont montrées. La plupart restent sagement agenouillées devant leur maitre, nous le nommerons ainsi bien que le terme me rebute quelque peu.

Teddy, bien qu’il l’ignore encore, est le seul à être totalement nu si l’on excepte son collier et sa laisse.

J’emprunte une badine en cuir noir, elle reste souple comme je les aime, accompagnant  mon geste fidèlement, enjoignant au corps de Teddy ma tendresse ou ma hargne.

Je possède un doigt métallique articulé, objet gothique détourné à des fins plus sensuelles. La pointe délicatement acérée selon la force donnée à mon doigt, lèche sa peau au rythme d’une musique que j’aurais aimée plus savante.

Une femme se lève sur ordre, lors que son maitre regarde fièrement l’assistance, semblant ainsi dire « je la possède, regardez la, elle se caresse devant vous juste parce que je le lui ordonne ».

Je détourne le visage de Teddy qui est à mes pieds debout sur ses genoux, lui intime l’ordre d’ouvrir les yeux et de regarder cette femme au corps presque parfait qui maintenant est  honorée par une autre soumise ayant demandé la permission.

Il regarde et ne peut s’empêcher de disperser son attention alentour, puis soudain il se retourne brusquement  et plante ses yeux dans les miens, à cet instant précis, nous ne faisons qu’un, nul n’est maitre et soumis, nous sommes amour. Il faudrait  bien peu de choses, peut être le baiser que semble réclamer ses lèvres avec ardeur pour que le jeu se  rompe.

Mais, je ne le désire pas. L’envie me prend de le mener toujours plus loin, plus haut, de stimuler son imaginaire, de lui offrir encore et toujours des sensations pures afin que les fantasmes occupent son esprit, que le désir soit exacerbé, au comble de son apogée.

Un rien lui donne de merveilleux frissons, quelques ongles d’abords doux et tendres, un léger effleurement, une caresse éthérée, puis soudain la foudre d’une morsure, subite, imprévisible, fugace, et pourtant si … mordante.

Il se lève selon mes désirs, se retourne et me voilà confrontée à ses délicieuses pommes d’amour, deux belles fesses fermes, rebondies mais point trop.

Une envie monte en moi irrésistible, je veux le voir à quatre pattes, cambré, offrant à la vue de tous, ce beau derrière si tentateur.

Mes mains ne peuvent résister plus longtemps, d’elles même, elles caressent puis fessent à toute volée ces pommes qui semblent encore bien pâles. Elles rougissent ne sachant si la douleur ou le plaisir l’emporte et est-ce une  interrogation qui demande réponse ? N’est il pas plus divin de se promener à la frontière de deux mondes, d’être selon la volonté de l’autre confronté à ce que l’on croyait être ses limites ?

Où est passé cet homme qui râlait parce que j’avais osé toucher d’un peu trop prés à ses poignées d’amour ? Il est bien loin.

Teddy, lui, a grandi, il est  encore sauvage et le savoir indomptable est le plus fantastique défi qu’il me soit offert.

Cependant, plus les sensations sont accumulées au fil de la soirée et après plus de trois heures d’un tendre mais ferme esclavage, Teddy est submergé par un désir qui monte par vagues successives et le conduit  à me dire ce qu’il n’a jamais osé voire même soupçonné être capable d’avouer à une femme.

Toutes les fantasmes les plus fous emplissent ce Teddy qui soudain redevient sauvage et voudrait tout obtenir de sa maitresse.

Et il me faut avouer que parfois alors que je croise ce regard plein de désir, je cède pour lui faire plaisir …

Par la baigneuse - Publié dans : Teddy et la baigneuse
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Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 00:51
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Notre histoire est un long parcours j’ai appris grâce à cet homme, à offrir une attention minutieuse à l’autre. J’ai su très rapidement que le rôle de soumise ne me suffirait pas, j’aime donner, c’est un trait de caractère que je possède depuis toujours.

Je serai bien incapable de vous dire quand précisément Teddy est né, quand il a reçu un jour dans le feu de l’action sa première fessée.

Je me souviens cependant d’un soir où maladroitement je le fouettais sur les flans et où il a brutalement interrompu le jeu car il eut  mal.

Il subit bien pire maintenant sans broncher.

Ce soir là, j’ai pleuré, car je me suis sentie indigne de sa confiance et depuis chaque geste est réfléchi, rien n’est laissé au hasard ou à une improvisation bâclée.

Nous avons parcouru lui et moi beaucoup de chemin et je vous raconterai au gré de mes souvenirs ou de mon imaginaire les instants magiques qui construisent une histoire, une histoire d’Amour.

Je ne respecterai aucune chronologie, je vagabonderai  au gré de mes humeurs, de mon désir et je l’espère pour  votre  plaisir.

 

Par la baigneuse - Publié dans : Teddy et la baigneuse
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Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 00:40
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 Je vais vous raconter dans cet univers intimiste une très belle histoire d’amour, une histoire très sensuelle.

Je rencontre un homme un soir d’aout, nous dinons et devisons agréablement.

Il me  raccompagne sagement à ma voiture avec promesse de m’amener des croissants le lendemain.

 Nous nous sommes quittés sur un beau baiser, tendre et fougueux.

Nous sommes dimanche.

Il est dix heures environ, il arrive sans les croissants mais bien plus sûr de son fait et semblant avoir des idées bien moins courtoises que la veille.

Force m’est de reconnaître que je ne l’ai pas invité pour faire une partie de scrabble.

Je suis ravie que sa courtoisie soit de sortie et nous passons sur le petit déjeuner plus que rapidement pour visiter la chambre.

Cette matinée restera à jamais gravée dans ma mémoire.

Je ne donne aucune clé, ce qui va se passer  a lieu sans un mot de part et d’autre.

Il découvre mon corps tel un savant qui ausculte l’objet de sa science.

Il est d’une attention, d’une précision quasi diabolique. En quelques minutes il prend possession de mon corps tel un vieil amant, mieux qu’un vieil amant. Il sait tout de lui, comme si cette découverte était une évidence. Il me mène avec un doigté d’horloger là où il le désire, sur la crête du plaisir, à cet endroit précis où l’on ne sais plus si tout va basculer vers un feu d’artifice flamboyant ou rester là sans fin dans cet état de bien être absolu.

Il se joue du moi, fait monter mon désir par vagues de plus en plus haut, de plus en plus loin, jusqu’à que le plaisir devienne inéluctable. Le cerveau l’attend le corps s’arc-boute déjà prêt à le recevoir, alors que tout est en place pour cette délicieuse déferlante, stop, tout cesse, plus rien, plus qu’une affreuse et pourtant délectable frustration.

Il me laisse pantelante, perdue, presque affolée. Je ne comprends pas, mon corps s’interroge, où est la promesse de l’orgasme annoncé ?

Point de répit, il reprend me mène à chaque fois au point de rupture semblant savoir mieux que moi ce que mon enveloppe ressent, mon esprit pressent.

Puis, nous continuons à jouer, à nous découvrir, je pars moi aussi vers cette nouvelle contrée à explorer.  Mais, je suis trop troublée, bien trop bouleversée par ce que je viens de vivre.

Et soudain, je suis à quatre pattes, tombe sans avertissement une fessée et des mots « réclame ton plaisir ou tu seras fessée ».

Un homme me fesse pour la première fois de  ma vie, moi la femme forte, pas chienne de garde, mais féministe sans l’ombre d’un doute : je ne dis mot et consens par quatre ou cinq fois.

Les claques résonnent sur mon fessier, elles sont cuisantes, les mots sont clairs, je reste muette et accepte sans broncher le châtiment.

Mon esprit est confus, je suis remplie de stupeur et de désir comme je ne l’ai jamais été.

Un monde jusqu’alors inexploré s’ouvre à moi.

Je vais aller vers des sentiers où jamais je n’aurais imaginé faire un seul pas.

C’est une révélation, inattendue, folle, délicieuse.

J’aime être dominée en amour, moi qui mène ma vie tambour battant, seule depuis toujours.

L’écrire, ainsi, semble être le reflet d’une simple constatation, mais non, je m’interroge, je n’arrive pas à m’expliquer ce « qui ne dit mot consent » auquel je viens de me prêter.

Quelques heures plus tard, il me laisse dubitative, étonnée, peut être déjà énamourée.

Par la baigneuse - Publié dans : Libertinage courtois
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Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 00:34
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Je t’aime

 

Amour sauvage

Capable de ravage

Attirance  des plumages

Aubade  des ramages

 

Amour intense

Bonheur et souffrance

Qu’importe, je me panse

Quand à toi, je pense

 

Amour puissant

Je te devine et pressent

Tu coules consentant

Jusque dans mon sang

 

Amour indomptable

Pour beaucoup redoutable

Je te dévore affable

Et reste insatiable

 

Amour fort

Je te bénis et t’adore

Te veux toujours et encor’

Peu importe nos torts

 

Amour éternel

Belle ritournelle

Réalité virtuelle

D’un rêve irréel

 

Amour symphonique

Magique et onirique

Qui grandit et  fornique

Dans ma chair extatique

 

Amour tout court

Mon âme parcourt

La parant alentour

Des  plus beaux atours

 

Je t’aime homme imparfait

Malgré quelques affreux méfaits

Mensonges grossiers et contrefaits

Je t’aime, ce n’est que le plus beaux des faits

 

Décembre 2007

 

 

 

Par la baigneuse - Publié dans : Poèmes
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Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 00:31
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J’ouvre ce blog parce que j’aime écrire. J’aime la sensualité, l’élégance.

N’espérez  trouver ici aucune photo coquine ou pornographique, n’espérez pas y trouver des récits techniques d’exploits sexuels en tous genres.

Par contre, si comme moi vous aimez les mots, leur conjugaison magique, l’érotisme, les jeux sensuels, le libertinage précieux, alors je suis ravie de vous entrainer dans mon monde sensuel.

Poèmes et prose viendront illustrer de magnifiques baigneuses sorties de l’imaginaire de merveilleux peintres.

Etant moi-même, une de ces femmes aux formes rondes et voluptueuses, elles seront ici à l’honneur.

En espérant que mon monde vous séduise, ayez la bonté de ne pas le salir par la vulgarité.

J’aimerais qu’il soit un endroit où l’on aime se glisser de temps à autre.

 


Par la baigneuse - Publié dans : Libertinage courtois
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